Mais cependant, il y a une chose que j'ai envie d'écrire. Juju me manques!
Si tu lis ceci, saches que je penses souvent à toi, et que le Québec a perdu un gros morceau quand tu es retourné en France! Prends soin de toi, je t'adore! =)
Une étreinte, un baiser, un petit éclat de bonheur dans une vie, une étincelle de joie... Mes pensées, mes joies et mes peines.
On est aujourd'hui mercredi, et je prends maintenant le temps de vous relater les événements qui se sont déroulés de vendredi à dimanche.
Si vous avez lu mes précédents posts, vous aurez lu qu'une idée m'obsédait, que je ne cessais d'y penser et que je n'arrêtais pas d'y réfléchir. Cette idée, c'était l'envie de rompre avec mon copain.
Pourquoi vous vous demandez? Simple... Il m'avait oubliée. J'avais l'impression d'être un meuble. Il allait travailler, et en revenant du travail j'avais droit à un bisou et un colleux, et ensuite il se collait devant son écran pour jouer à World of Warcraft et n'en décollait que pour dormir.
Alors j'en ai eu assez, et finalement, vendredi dans l'après-midi, je lui ai dit que je voulais qu'on se sépare.
Et les larmes ont commencé à couler... les miennes. J'ai pleuré toute l'après-midi.
Ensuite les filles sont arrivées, on est sorties pour souper. Une bonne poutine chez Pauline, qu'on a mangé dehors. Et d'ailleurs, on a eu droit à un beau souper spectacle, trois beaux jongleurs qui nous ont fait tout un show!
Et le soir, j'ai pleuré de nouveau. Et le lendemain, et le dimanche aussi. Une longue fin de semaine à pleurer, où j'ai réalisé à quel point je l'aime, mon homme.
Quand est venu le temps d'enlever ma bague de fiançailles, ça a fait mal. Ça me déchirait les entrailles. J'ai finalement réussit à l'enlever, pour la remettre le lendemain matin.
Et finalement, dimanche, nous étions redevenus un couple. Après une bonne discussion, à parler de ce qui n'allait pas et ce qu'on devait améliorer. Et savez-vous quoi? Je suis heureuse. Je suis heureuse, parce que je l'aime, mon homme.
Je crois que cette séparation a été la meilleure idée que j'ai eu, parce que la chicane s'est envolée, et qu'on est maintenant plein d'attention l'un envers l'autre.
Et entre temps, j'aurai quand même gagné un petit séjour dans le légendaire Club des célibataires de mai d'Adomonde!
Je n'ai jamais eu de problème de sommeil. Habituellement, je poses à peine ma tête sur l'oreiller, je fermes les yeux et je rejoins aussitôt les bras de Morphée.
Mais pas aujourd'hui, on dirait. Il est 9h a.m. Je me suis couchée à 5h a.m.
Cela fait donc 4 heures que je me retourne dans tous les sens, en dormant si peu de temps que je me rappelles de tous les rêves que j'ai fait.
Des rêves qui sont une vraie torture, et qui sont très troublants.
Oui, 4 longues heures que je suis étendue, le corps tremblant à cause de je-ne-sais-quoi.
L'insomnie, c'est chiant. Moi qui comptait au moins sur ces 8 petites heures de répit, un moyen de fuir mes pensées.
Une seule pensée m'obsède, et elle défile devant mes yeux depuis 5h a.m.